La céréaliculture se structure… mais
La céréaliculture se structure. Mais reste trop dépendante de l’aléa climatique. La filière exerce une forte sensibilité à la fois politique, économique et sociale. A tel point que la production des céréales conditionne la croissance. Cette année, elle devrait s’établir à 1% du PIB selon les dernières prévisions de la banque centrale et à moins de 1,3% d’après le HCP et le Centre marocain de conjoncture.